Secteur

Une page d’histoire se tourne pour le fondateur de Pétro-T

Léo-Paul Therrien, fondateur de Pétro-T, a indiqué avoir procédé à la vente de ses actifs afin d’assurer sa relève et de permettre à son entreprise de continuer de grandir. Comme il le mentionne : « Après toutes ces années à la tête de l’entreprise que j’ai fondée et de transactions nombreuses, je crois qu'il est sage de passer les commandes de les Pétroles Therrien à un autre groupe soit, Harnois Groupe pétrolier». Il souligne un critère important pour lui, à savoir que les activités de Pétro-T se poursuivent avec le personnel en place, et ce, à partir de Drummondville. Ainsi, M. Therrien poursuit : «Mon choix m’a dirigé vers une compagnie qui en est à sa deuxième génération de dirigeants et ayant une forte expérience dans le même secteur commercial». Léo-Paul Therrien remercie tous ses agents et ses détaillants propriétaires franchisés de Pétro-T. Fier de ses 50 ans d’histoire et de défis relevés, il n’envisage pas une retraite immédiate et poursuivra ses activités philanthropiques, immobilières et financières.

TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental

TransForce Inc. a annoncé avoir conclu une convention définitive d’achat d’actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 pour cent des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l’opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l’obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l’absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. «Nous sommes très heureux d’avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n’a jamais été pleinement reconnue», a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. «Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j’aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement», a-t-il ajouté.

Une nouvelle étude sur la main d’œuvre, première en son genre, pour le secteur du camionnage au Port de Montréal

C'est aujourd'hui que La Table sur les compétences de la Porte de l'Asie-Pacifique et l'Administration portuaire de Montréal ont publié les résultats d'une étude sur le Profil de la main d'œuvre et des technologies de communication du secteur du camionnage au Port de Montréal. L'étude comprend un profil de la main d'œuvre de chauffeurs de la région, ainsi qu'un examen complet des technologies de communications actuellement utilisées par les entreprises et les chauffeurs spécialisés en camionnage portuaire à Montréal. Selon Daniel Dagenais, vice-président des opérations du Port de Montréal : «Le message est clair : la main d'œuvre du camionnage est en pleine évolution. Dorénavant, les nouvelles technologies contribuent à minimiser le temps d'attente au Port et à réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre. La technologie sera au cœur de nos plans stratégiques futurs. Cette étude nous a permis de mieux connaître le profil et les modes de communication des gens qui transportent des biens vers et depuis le port de Montréal.»

Manac enregistre un résultat net de 3,5 millions $

Manac inc., un chef de file nord-américain en conception et fabrication de semi-remorques spécialisées, annonce un résultat net de 3,5 millions $, ou 0,21 $ par action, pour le quatrième trimestre de 2014, comparativement à un résultat net de 2,7 millions $, ou 0,16 $ par action, pour le troisième trimestre de 2014, et de 4,8 millions $, ou 0,28 $ par action, pour le quatrième trimestre de 2013. Les revenus du quatrième trimestre se sont chiffrés à 99,3 millions $ comparativement à 69,9 millions $ pour la période correspondante de 2013, représentant une augmentation de 42 pour cent. «L'exercice 2014 a été solide, tant pour Manac que pour notre secteur. La croissance de nos gammes de produits traditionnels, soutenue par l'acquisition, vers le milieu de l'exercice, de Peerless, s'est traduite par des revenus record pour Manac. Compte tenu du niveau de notre carnet de commandes de fin d'exercice, de la valeur moins importante du dollar canadien comparativement au dollar américain et des conditions très favorables qui prévalent au sein du secteur, nous entamons l'exercice 2015 avec un grand optimisme», a mentionné Charles Dutil, président et chef de la direction. Le carnet de commandes de Manac a atteint un sommet record au cours du quatrième trimestre, pour se chiffrer à 173,5 millions $ au 31 décembre 2014, comparativement à 121,4 millions $ au 27 septembre 2014 (et à 78,4 millions $ au 31 décembre 2013).