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Le Port de Montréal collabore à une étude pour aider l’industrie du camionnage

L'Administration portuaire de Montréal accueille avec grande satisfaction les résultats d'une étude visant à améliorer la fluidité du trafic des camions qui assurent le transport terrestre des marchandises en provenance et destinées au port de Montréal. L'étude intitulée Study of Innovative Technologies for Communicating Real-time Information to Port Drayage Drivers, et rendue publique le 12 janvier 2016, a été produite par l'Asia Pacific Gateway (APG) Skills Table, en collaboration avec l'Administration portuaire de Montréal. Fidèle à sa volonté d'augmenter continuellement l'efficacité de ses opérations, le Port de Montréal est bien décidé à prendre les moyens pour améliorer l'accès des camions aux terminaux portuaires. L'étude fait l'inventaire des différentes plateformes technologiques qui permettent de relayer aux camionneurs des informations en temps réel sur les conditions d'opérations et de trafic du port. Pour cela, l'étude a examiné le cas de 10 ports internationaux. Il s'agit surtout de cas nord-américains et européens de grandeurs et de complexités variées.

Une nouvelle étude sur la main d’œuvre, première en son genre, pour le secteur du camionnage au Port de Montréal

C'est aujourd'hui que La Table sur les compétences de la Porte de l'Asie-Pacifique et l'Administration portuaire de Montréal ont publié les résultats d'une étude sur le Profil de la main d'œuvre et des technologies de communication du secteur du camionnage au Port de Montréal. L'étude comprend un profil de la main d'œuvre de chauffeurs de la région, ainsi qu'un examen complet des technologies de communications actuellement utilisées par les entreprises et les chauffeurs spécialisés en camionnage portuaire à Montréal. Selon Daniel Dagenais, vice-président des opérations du Port de Montréal : «Le message est clair : la main d'œuvre du camionnage est en pleine évolution. Dorénavant, les nouvelles technologies contribuent à minimiser le temps d'attente au Port et à réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre. La technologie sera au cœur de nos plans stratégiques futurs. Cette étude nous a permis de mieux connaître le profil et les modes de communication des gens qui transportent des biens vers et depuis le port de Montréal.»

Le retrait provisoire de la règle de remise à zéro après 34 heures entre les mains du Sénat

Les camionneurs intéressés à savoir si la règle de remise à zéro après 34 heures de la Federal Motor Carrier Safety Administration (FMCSA) sera suspendue ou non ont porté leur attention vers le Sénat des États-Unis, après que la Chambre des représentants en ait adopté le projet de financement. Les représentants ont voté à 219 contre 206 en faveur du projet de loi de dépenses de 1,1 milliard de dollars, qui finance la majorité des dépenses du gouvernement américain au cours de l'exercice fiscal 2015, franchissant un pas de plus vers la suspension controversée de la règle de remise à zéro après 34 heures. Le projet de dépenses va couper le financement de l’application de la règle de remise à zéro, alors que la FMCSA étudie ses effets. La suspension de la remise à zéro est présentement en attente d’une décision du Sénat des États-Unis. La question met en cause la disposition de la règle 2013 sur les heures de service, qui oblige les chauffeurs à prendre deux périodes de repos entre 1h et 5h durant leur période de remise à zéro après 34 heures, et qui limite à une fois par semaine l’utilisation de la remise à zéro. Le retrait provisoire durerait jusqu’à ce que l’agence finisse l’étude ou jusqu’au 30 septembre de l’année prochaine, selon la dernière éventualité. Entretemps c’est la version antérieure de la remise à zéro, ne comprenant pas les restrictions mentionnées plus haut, qui serait en vigueur. Le changement améliorerait la productivité de l’industrie de deux pour cent immédiatement, selon la firme d’analyse FTR spécialisée dans l’industrie du camionnage, et la règle modifiée diminuera la productivité de 1,5 pour cent, si la question concernant les heures de sommeil se règle, ce qui constitue une amélioration de 50 points de base par rapport à la réglementation actuelle.

Le faible taux d’alphabétisation représente un danger pour la sécurité, conclut une étude

OTTAWA – Les compagnies canadiennes investissent dans de la formation et du nouvel équipement de santé et de sécurité du travail, mais font peu pour améliorer les compétences de base, dont la capacité de lire et d’écrire de leurs travailleurs, selon une nouvelle étude du Conference Board qui s’est penchée sur l’impact de l’alphabétisation sur la santé et la sécurité du travail.