véhicules

UAP fait l’acquisition de Buy-Rite Truck Parts Inc.

UAP inc. annonce l’acquisition des actifs de Buy-Rite Truck Parts Inc. (Buy-Rite), situé à Mississauga en Ontario, en date du 6 novembre 2016. Fondée en 1988 et faisant partie du réseau HDA Truck Pride, Buy-Rite est un distributeur de pièces qui dessert le marché de la grande région de Toronto. «Cette importante acquisition fait partie de notre stratégie d’élargir notre présence sur le marché ontarien afin de toujours mieux servir notre bassin de clients en pleine croissance dans cette province», a déclaré Pierre Rachiele, vice-président exécutif de la Division des pièces pour véhicules lourds chez UAP. «Nous sommes réjouis par les possibilités qu’apporte cette acquisition pour notre division, puisque nous pourrons bénéficier de l’expertise acquise par Buy-Rite au cours des 28 dernières années.» Le site actuel de Buy-Rite poursuivra ses activités tout au long de la transition des affaires vers Traction.

Total lance sa nouvelle gamme de produits Total Quartz 7000 Future XT

Total Canada inc., filiale du 4e groupe pétrolier mondial TOTAL S.A., annonce le lancement officiel de sa nouvelle gamme de produits Total Quartz 7000 Future XT, qui vient compléter la gamme Total Quartz. «Le marché global des lubrifiants est en constante évolution et le marché canadien ne fait pas exception. C’est pourquoi nous offrons maintenant une alternative aux huiles conventionnelles avec la ligne de produits Total Quartz 7000 Future XT», précise Franck Bagouet, président et directeur général de Total Canada. Total Quartz 7000 comptera trois produits : Total Quartz 7000 Future XT 5W-20, Total Quartz 7000 Future XT 5W-30 et Total Quartz 7000 Future XT 10W-30.

Capacité des pneus et de l’essieu directionnel : des informations exigées

Le Règlement sur les normes de charges et de dimensions applicables aux véhicules routiers et aux ensembles de véhicules routiers exige que les capacités des pneus et de l’essieu directionnel soient disponibles lors d’une intervention de contrôle sur route. Ces informations sont exigées afin de pouvoir autoriser la limite de charge maximale des catégories d’essieux. Dans la majorité des cas, la capacité des pneus est inscrite sur le flanc des pneus, et la capacité de l’essieu directionnel sur le cadre intérieur de la porte du conducteur. Néanmoins, il est possible que ces informations ne soient pas présentes sur certains types de véhicules tels qu’un véhicule-outil (par exemple : niveleuse, chargeuse, tracteur de ferme). L’exploitant d’un tel véhicule pourrait voir ces limites de charges axiales diminuées, à moins qu’un document officiel atteste de ces informations et qu’il soit à bord du véhicule. Ce document peut être délivré par le fabricant, le concessionnaire, l’autorité gouvernementale compétente ou un ingénieur. Il doit comprendre le nom, l’adresse et la signature de la personne, de l’organisation ou de l’entreprise qui l’a délivré, la capacité de l’essieu directionnel et la capacité des pneus, le numéro d’identification du véhicule et les caractéristiques des pneus. Le document doit pouvoir être remis à l’agent de la paix qui effectue le contrôle des limites de charge du véhicule ou de l’ensemble de véhicules.

Circulation des grands trains routiers en période hivernale : projet de démonstration 2016-2017

Le Règlement sur le permis spécial de circulation d’un train routier autorise la circulation de trains routiers d’une longueur hors normes (grand train routier) sur les autoroutes à chaussée séparée et aux abords de celles-ci. En vertu du Règlement, ces ensembles de véhicules peuvent circuler entre le 1er mars et le 30 novembre. Le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports reconduit cette année le projet de démonstration qui permet la circulation des grands trains routiers (GTR) en période hivernale (de décembre à février). Ce projet permet la circulation des GTR sur les routes visées par le Règlement à certaines conditions supplémentaires, qui ont pour objectif d’assurer la sécurité des usagers de la route. Pour être admissibles au projet, les entreprises doivent notamment avoir été titulaires d’au moins un permis spécial de circulation autorisant la circulation de GTR au Québec entre le 1er mars 2015 et le 30 novembre 2016; et détenir une cote de sécurité «satisfaisant», avec ou sans la mention «non audité».

Québec accorde plus de 3,3 M$ à Termont Montréal, dont 147 780 $ pour la conversion de cinq camions en véhicules hybrides

Le ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, M. Laurent Lessard, accompagné du ministre délégué aux Affaires maritimes, M. Jean D’Amour, a annoncé deux types d’aide financière à l’entreprise Termont Montréal inc., totalisant 3 347 780 $. Cette aide vise à mettre en place deux projets qui lui permettront de poursuivre son essor et de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de ses activités de transbordement de conteneurs au terminal Viau du port de Montréal. Un premier projet qui a bénéficié d’une aide financière consistait à remplacer deux grues mobiles fonctionnant au carburant diesel par deux grues-portiques électriques de classe post-Panamax. Les nouveaux équipements amélioreront la performance économique, énergétique et environnementale du port de Montréal. L’aide financière de 3,2 millions de dollars est accordée dans le cadre du Programme visant la réduction ou l’évitement des émissions de gaz à effet de serre par le développement du transport intermodal (PREGTI). Ce programme est financé par le Fonds vert dans le cadre du Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques et pourvu d'une enveloppe de 41 millions de dollars d’ici le 31 mars 2017.

Mise à jour : Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers

Depuis le 20 novembre, les changements apportés au Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers sont en vigueur. Les principaux changements concernent : la vérification avant départ (celle-ci devient la ronde de sécurité), les défectuosités mécaniques mineures et majeures, les modalités d’application de la vérification mécanique et les motifs de révocation d’un programme d’entretien préventif. Plusieurs outils et publications sont disponibles. Depuis mai dernier, plusieurs outils ont été élaborés ou mis à jour pour vous aider à vous préparer à ces changements réglementaires.

Résultats du blitz : 13,2 pour cent des freins jugés dangereux

Malgré la semaine de la sécurité des freins largement promue par les médias sociaux, 13,2 pour cent des véhicules vérifiés lors du blitz d’une semaine en Amérique du Nord, ont été mis hors service en raison d’infractions liées aux freins. En outre, 14,8 pour cent ont été mis hors service pour des problèmes non liés aux freins. Certains camions étaient en infraction dans les deux catégories. La Commercial Vehicle Safety Alliance (CVSA) a mené 18 385 inspections de véhicules commerciaux et de freins à travers tous les États, provinces et territoires – au cours de la semaine du 11 au 17 septembre – dont les résultats ont été dévoilés lundi dernier. Les inspections comprenaient l'analyse des composantes du système de freinage afin d'identifier les pièces manquantes ou mal fixées; les fuites d’air ou les fuites hydrauliques; les garnitures, les plaquettes de frein, les tambours ou les disques fissurés, endommagés ou usés; et d’autres pièces défectueuses du système de freinage. Les inspecteurs ont également vérifié la conformité des systèmes antiblocage des roues – une initiative qui a débuté lors de la journée de contrôle des freins tenue sans préavis par la CVSA en mai dernier. La semaine de la sécurité des freins (Brake Safety Week) fait partie de l’Operation Airbrake Program parrainé par la CVSA, en association avec l’American Federal Motor Carrier Safety Administration (FMCSA) et le Conseil canadien des administrateurs en transport motorisé (CCATM). Le programme a d’abord été développé au Canada en 1998.

Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers

C’est le 20 novembre 2016 que les changements apportés au Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers entreront en vigueur. Les principaux changements concernent la vérification avant départ (celle-ci devient la ronde de sécurité), les défectuosités mécaniques mineures et majeures, les modalités d’application de la vérification mécanique et les motifs de révocation d’un programme d’entretien préventif. Outils et publications : Depuis mai dernier, plusieurs outils ont été élaborés ou mis à jour pour vous aider à vous préparer à ces changements réglementaires, dont une présentation sur la nouvelle ronde de sécurité. Cette présentation est basée sur les changements au Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers. Elle se veut un outil d’accompagnement pour les propriétaires, exploitants et conducteurs de véhicules lourds (PECVL) sur les nouvelles règles qui entreront en vigueur le 20 novembre prochain. Pour tous les détails, consultez la page Web portant sur la ronde de sécurité. Pour obtenir plus de renseignements sur ces changements, consultez la page des Normes de sécurité des véhicules routiers ou appelez au 1 800 554-4814.

Règlement sur les normes de sécurité des véhicules : La CAQ demande un sursis de trois à six mois pour les camionneurs

Afin de répondre aux inquiétudes légitimes des camionneurs, la Coalition Avenir Québec (CAQ) demande au gouvernement Couillard de reporter de trois à six mois l’entrée en vigueur de son Règlement sur les normes de sécurité des véhicules routiers pour donner à l’industrie du camionnage une chance de s’adapter aux futures restrictions. À partir du 20 novembre, le nouveau règlement imposera aux camionneurs des ajustements de taille, notamment en ce qui concerne la vérification, l’entretien et l’aspect physique des véhicules. Même s’il convient qu’il ne faut faire aucune concession sur la sécurité des automobilistes, Claude Surprenant, critique de la CAQ en matière de transports, estime que le gouvernement libéral appuie trop vite sur l’accélérateur. «Un report de trois à six mois permettra à toute l’industrie de s’ajuster à temps et de collaborer de façon proactive avec la Société de l’assurance automobile du Québec», estime-t-il.

Suivi technologique

«On peut contrôler bien des choses, mais pas la température», a plaisanté Yves Provencher, ingénieur forestier et directeur du Groupe PIT, en référence à la pluie qui s’est abattue toute la journée sur la piste du Centre d’essais et de recherche PMG, à Blainville. C’est là que divers journalistes et membres de l’industrie du camionnage étaient conviés à une démonstration du système de conduite en peloton coopératif pour les véhicules lourds du programme écoTECHNOLOGIE pour véhicules de Transports Canada. «Mais si le système fonctionne dans ces conditions, ça veut dire qu’il fonctionne bien», de poursuivre M. Provencher. Le système en question est le fruit d’une collaboration entre différents organismes du Canada et des États-Unis, dont le Conseil national de recherches Canada (CNRC), l’Université de Californie à Berkeley, Transports Canada et le Groupe PIT. Du côté du Groupe PIT, l’idée du suivi en peloton remonte à 2008 et impliquait deux camions ordinaires se suivant de près – tout simplement – à la manière des cyclistes et des oiseaux migrateurs. L’organisme avait alors commencé à tester les effets du phénomène aérodynamique d’aspiration sur la consommation de carburant et les résultats se sont avérés concluants. C’est donc l’économie de carburant, et par conséquent la réduction des émissions, qui se retrouvent au cœur du projet. Lors de la démonstration, le peloton était constitué de trois camions Volvo équipés notamment d’une caméra vidéo, d’un système GPS 5Hz, d’un radar de régulation de distance et de deux antennes DSRC (communications dédiées à courte portée). À partir de quatre camions, les avantages du suivi en peloton commenceraient à s’estomper.