Michelin accompagne des vétérans à une commémoration du débarquement de Normandie

Michelin Amérique du Nord, en partenariat avec la Best Defense Foundation et Delta Air Lines, a contribué à ce que 44 vétérans de la Deuxième Guerre mondiale puissent revenir sur le site de l’invasion des Alliés en Normandie, dans le nord-ouest de la France.

« Le 6 juin 1944 est une journée dont on se souviendra toujours, pas seulement pour le peuple français mais pour le monde entier puisqu’il a donné le signal de la fin de la Deuxième Guerre mondiale en Europe », a souligné Alexis Garcin, président et chef de la direction de Michelin Amérique du Nord.

« C’est avec humilité que Michelin participe une fois de plus à cette initiative visant à dire “merci” aux vétérans qui ont rendu possible la célébration de la liberté, non seulement à travers l’Europe mais aussi à travers le monde », a jouté le PDG.

L’avion des vétérans s’est posé à Deauville mais ces derniers ont visité de nombreuses autres villes de Normandie, leurs passages étant marqués d’événements festifs.

« La réception des gens de la Normandie est quelque chose qui m’épate chaque année. J’étais fébrile de revenir avec mes collègues vétérans afin d’honorer ceux qui ont fait l’ultime sacrifice. C’est à nous de célébrer leur mémoire », a témoigné Jake Larson, un vétéran de l’armée américaine qui a participé au « Jour J » du 6 juin 1944.

Des employés de Michelin ont accompagné les vétérans lors du voyage, leur apportant leur soutien à titre d’aidants.

La guerre, la guerre, c’est pas une raison pour cesser d’innover

Michelin a traversé l’histoire et les guerres, et a depuis longtemps établi sa présence en sol nord-américain.

Peu de temps avant que les canons commencent à tonner, en 1937, Michelin avait fait la démonstration aux États-Unis de la robustesse de ses pneus de camions baptisés « Metalic », y imposant une si lourde charge que le camion avait littéralement fait un cabré (ou un « willy » si vous préférez).

Peu de temps après la fin du conflit, en 1946, Michelin présentait son tout premier prototype de pneu radial, une innovation qui allait révolutionner le monde des transports.

Le prototype était baptisé baptisé « cage à mouche », en référence aux câbles très espacés de sa carcasse.