Tremcar applaudit le plan d’immigration du Québec

L’entreprise Tremcar recrute de la main d’œuvre qualifiée à l’étranger et offre aux candidats en attente de leur visa une formation dans leur pays d’origine. C’est un investissement de plus de 500 000 $ pour l’entreprise, qui peine à trouver des soudeurs qualifiés depuis 2015. Lorsque le ministre Simon Jolin-Barrette a déposé son plan sur l’immigration, le copropriétaire de Tremcar, Jacques Tremblay, s’est réjoui. «L’idée de l’appareillage des futurs employés avec les entreprises en besoin de main d’œuvre est optimale», a-t-il souligné.

«Il faut qu’il y ait une réelle adéquation entre les besoins du marché du travail et les gens qu’on accueille», a déclaré pour sa part M. Jolin-Barrette.

L’objectif de Tremcar : mieux accueillir, mieux intégrer et mieux franciser ses futurs employés immigrants. «Ça passe notamment par le fait d’avoir un parcours personnalisé pour s’assurer que chaque personne qui choisit le Québec est bien encadrée», de poursuivre M. Jolin-Barrette.

Le gouvernement Legault suggère d’utiliser de l’information sur le marché du travail au lieu d’un processus politique et bureaucratique pour sélectionner les futurs employés immigrants. Cette approche a été saluée par M. Tremblay. «La preuve, nous sommes dans cette démarche», explique-t-il. «Nous espérons seulement que nos demandes de visas vont suivre leur cours et que nous allons obtenir les licences de travail pour le mois de mars.»

Donnez votre avis

Vos données ne seront ni publiées, ni partagées.

*