INSCRIVEZ-VOUS MAINTENANT au Sommet canadien sur l’entretien de flotte 2016

Les inscriptions ont débuté pour le Sommet canadien sur l’entretien de flotte (Canadian Fleet Maintenance Summit), qui aura lieu le 13 avril prochain conjointement avec le salon Truck World. L’événement, organisé par Newcom Business Media en collaboration avec le Groupe PIT, se déroulera à l’International Centre de Toronto le 13 avril prochain. Il s’agit du premier Sommet canadien sur l’entretien de flotte (SCEF) soutenu par l’ensemble de l’industrie. L’événement regroupera l’Automotive Transportation Service Superintendents’ Association (ATSSA), l’Association d'équipement de transport du Canada, la Transportation Maintenance & Technology Association (TMTA) et l’Association du camionnage de l’Ontario. «Les responsables et les spécialistes de l’entretien canadiens méritent un événement éducatif de premier plan consacré à leurs besoins. Avec le SCEF, nous rassemblons tous les intervenants de l’industrie – spécialistes de l’entretien, fabricants, chercheurs et responsables de l’application de la loi – sous un même toit, afin d’aborder les questions les plus urgentes de l’industrie et de montrer la voie à suivre», a déclaré Rolf Lockwood, rédacteur général chez Newcom Business Media. Inscrivez-vous au Sommet d’ici le 29 février et profitez du prix spécial de 349$ accordé aux premières inscriptions. L’inscription comprend un accès complet aux conférences, un billet pour le déjeuner d’ouverture ainsi qu’un laissez-passer pour Truck World. Pour obtenir des informations supplémentaires sur le Sommet canadien sur l’entretien de flotte, cliquez ici.

Le Sommet canadien sur l’entretien de flotte de retour à Toronto le mercredi 13 avril 2016, dans le cadre de Truck World 2016

Newcom Business Media Inc., éditeur des magazines Transport Routier, Today’s Trucking, Truck News et Motortruck Fleet Maintenance, a annoncé le retour du Sommet canadien sur la l’entretien de flotte (Canadian Fleet Maintenant Summit) à Truck World. Conjointement avec le Groupe PIT, Newcom est fier de rassembler l’American Traffic Safety Services Association, l’Association d'équipement de transport du Canada, l’Association du camionnage de l’Ontario et la Transportation Maintenance & Technology Association pour le premier Sommet canadien sur l’entretien de flotte (SCEF) soutenu par l’ensemble de l’industrie, qui sera tenu à Truck World le mercredi 13 avril 2016, à l’International Centre de Mississauga (Ontario). Fusionnant avec la précédente conférence du Groupe PIT, ce partenariat rassemblera la meilleure expertise afin d’assurer un Sommet couronné de succès. L’entretien intelligent et les stratégies de spécification d’équipement sont essentiels au succès de chaque flotte de camions. Ils mènent la rentabilité en assurant la bonne spécification d’équipement pour chaque utilisation, et en gardant les véhicules sur la route avec des temps d’immobilisation minimum.

Retour sur la campagne Energotest d’automne 2015

Le Groupe Performance Innovation Transport (PIT) procédait récemment à sa plus récente campagne Energotest, un événement qui vise à fournir des données précises, indépendantes et incontestables sur l’impact économique et environnemental des technologies vertes. Cette édition d’automne 2015 s’est déroulée du 9 au 18 septembre, à Blainville, et mettait à l’essai huit technologies proposées par des fabricants ou essais maison. Voici un résumé des principaux essais effectués.

Groupe Mack/Volvo Montréal très satisfait de sa progression

Daniel Deschatelets, vice-président directeur général de Groupe Mack/Volvo Montréal, a rencontré des journalistes de camionnage à ses installations de Dorval, dans le cadre d’une journée d’appréciation des employés et des clients, pour faire le point sur la situation, quelque neuf mois après l’acquisition du Groupe par un trio de partenaires dont il fait partie avec Richard Noseworthy et Luc Rivard. M. Deschatelets se dit très satisfait de l’acquisition, qui a été faite le 15 décembre dernier. À ce jour en 2015, la part de marché du Groupe pour les produits Volvo s’élève à 22,4 pour cent, comparativement à 14 pour cent l’an passée. Du côté de Mack, ces chiffres sont respectivement de 4,5 et 4 pour cent. M. Deschatelets croit possible de faire passer la part de marché de Mack autour de 7 à 8 pour cent, pour des parts combinées totales de 30 pour cent. «Nous ne sommes pas loin de cela présentement», souligne-t-il.

Commandes de classe 8 inférieures à 20 000 unités au mois de mai

Selon un rapport préliminaire publié par la firme FTR, les commandes nettes de camions de classe 8 pour le mois de mai 2015 ont atteint 19 714 unités en Amérique du Nord. Il s’agit d’une diminution de 11 pour cent par rapport au mois précédent et de 23 pour cent par rapport à l’an dernier à pareille date. Les commandes ont chuté en mai pour un troisième mois consécutif et ont plongé sous la barre des 20 000 unités pour la première fois depuis septembre 2013. Tous les principaux fabricants d’équipement sont touchés par cette diminution des commandes, alors que certains d’entre eux font face à un déclin plus important que prévu. Les commandes annualisées de classe 8 totalisaient 352 000 unités au cours des six derniers mois. FTR s’attend à ce que les commandes de classe 8 retrouvent leur rythme saisonnier pour le reste de l’année. Les carnets de commandes demeurent forts et on ne prévoit pas, pour l’instant, réduire la cadence de production.

FTR : les commandes de mars sont les plus basses depuis septembre 2014

Selon un rapport préliminaire publié par la firme FTR, les commandes nettes de camions de classe 8 pour le mois de mars 2015 ont atteint 24 780 unités en Amérique du Nord, le niveau le plus bas depuis septembre 2014. Les commandes de mars reflètent la première comparaison négative en glissement annuel depuis janvier 2013. Les niveaux de commandes ont été quelque peu décevants et FTR s’attend à ce que cette baisse se poursuive en raison des tendances saisonnières tout au long de la période estivale. Les commandes de classe 8 totalisaient 376 000 unités au cours des 12 derniers mois. Le taux de commandes de classe 8 revient à des modèles plus stables et prévisibles, alors qu’on s’attend à ce que la plupart des commandes de mars soient livrées au deuxième et au troisième trimestre. Les carnets de commandes sont encore suffisamment élevés pour appuyer les prévisions actuelles de FTR pour 2015. La plupart des fabricants d’équipement ont observé une diminution considérable des commandes durant ce mois, mais l’un d’entre eux a tout de même connu une hausse respectable.

FTR annonce de fortes commandes de classe 8 pour l’Amérique du Nord

Selon un rapport préliminaire publié par la firme FTR, les commandes nettes de camions de classe 8 pour le mois de janvier 2015 ont atteint 35 060 unités en Amérique du Nord. Bien que les commandes aient diminué par rapport au rythme effréné du dernier trimestre, il s’agit du meilleur mois de janvier depuis 2006, représentant une augmentation de 2 pour cent en glissement annuel. Les commandes sont revenues à des niveaux plus traditionnels, alors que la plupart des fabricants (mais pas tous) poursuivent leur rythme de commandes élevé. Les commandes de classe 8 totalisaient 377 000 unités au cours des 12 derniers mois.

Séminaire technique du CTCQ : quoi mettre sur un shunter?

Tracteur de cour, tracteur de manœuvre, shunter ou gareur : peu importe le nom utilisé, c’est un équipement qu’il faut prendre au sérieux! Ce type de véhicule est la pierre angulaire dans une cour pour assurer le succès d’un centre de distribution, d’un terminal portuaire ou d’un poste de transit effectuant un grand nombre de manœuvres de remorques. Il est donc impératif de bien identifier ses besoins, de comprendre et de choisir les alternatives pour rentabiliser cet investissement, autant par rapport à l’achat et à l’entretien que par la formation de la main d’œuvre. L’ergonomie générale du véhicule, la vision, l’approvisionnement en pièces, la sécurité des manœuvres de l’opérateur et des opérations font partie des nombreux points importants à considérer dans le choix de ce type de véhicule.

Une fois de plus, les commandes de classe 8 excèdent 40 000 unités en Amérique du Nord

Selon un rapport préliminaire publié par la firme FTR, les commandes nettes de camions de classe 8 pour le mois de décembre 2014 ont atteint 43 620 unités en Amérique du Nord. Il s’agit du troisième mois consécutif à connaître des commandes dépassant le seuil des 40 000 unités. Contrairement aux deux mois précédents, la force des commandes de décembre a été généralisée parmi les fabricants d’équipement, alors qu’ils ont presque tous connu de bonnes augmentations par rapport au mois précédent, dénotant le dynamisme global du marché des camions. Le total des commandes de classe 8 pour l’Amérique du Nord se situait à 375 000 unités en 2014, soit le deuxième plus haut total de l’histoire (vs. 2004) alors que les commandes au 4e trimestre de 2014 n’ont été dépassées que par celles du 1er trimestre de 2006.

Lente transition vers le gaz naturel pour les camions poids lourds

Le marché des camions poids lourds adopte le gaz naturel (GN) plus lentement que prévu, selon un rapport de la firme ACT Research. En 2014, les ventes de camions alimentés au gaz naturel ont augmenté à peu près au même rythme que le marché du camion dans son ensemble. On s’attend à ce que les ventes totalisent 11 000 unités cette année, ce qui représente une augmentation de 27 pour cent en comparaison avec 2013. «Les prévisions ont chuté par rapport à notre analyse initiale», a déclaré Ken Vieth, directeur général chez ACT. «Le prix du diesel ainsi que des améliorations importantes dans l’économie globale de carburant ont contribué à modifier les scénarios en matière de retour d'investissement.» Parmi les obstacles qui subsistent sur le marché du gaz naturel, il y à l’écart de prix entre les véhicules au GN et ceux au diesel, et le stade précoce de construction des infrastructures. «La question de l’œuf et de la poule concernant les infrastructures est en train de se régler, lentement mais surement, mais celle du prix de l’équipement alimenté au gaz naturel doit être abordée et elle ne se réglera pas du jour au lendemain», d’ajouter M. Vieth. «C’est pourquoi nous parlons d’évolution et non de révolution.»