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TOTAL annonce le lancement d’une nouvelle gamme de lubrifiants API CK-4 et FA-4 : RUBIA OPTIMA

TOTAL Canada, filiale de TOTAL, 4e groupe pétrolier intégré au monde, annonce le lancement de sa nouvelle gamme RUBIA OPTIMA. Cette gamme élaborée pour les moteurs de poids lourds est conforme aux nouvelles catégories définies par l’American Petroleum Institute (API), prenant effet en décembre 2016. Afin d’améliorer la consommation de carburant et de rendre les moteurs diesel plus propres, de nouvelles huiles sont requises. La catégorie CJ-4 a été développée il y a près d’une décennie et va être remplacée par deux nouvelles catégories, API CK-4 et API FA-4. Celles-ci ont été créées afin de répondre aux nouvelles normes d’émissions de gaz à effet de serre. Grâce à sa formulation complexe, la gamme TOTAL RUBIA OPTIMA offre une meilleure protection du moteur ainsi qu’un degré de performance sans équivalent, selon le fabricant. TOTAL RUBIA OPTIMA aidera à réduire les émissions de dioxyde de carbone tout en améliorant la consommation de carburant. Grâce à sa meilleure résistance à l’oxydation, TOTAL RUBIA OPTIMA permet d’atteindre l’intervalle de vidange le plus long autorisé par les constructeurs.

Le Canada félicite les É-U d’avoir mis sur pied une réglementation plus stricte sur les émissions de GES pour les véhicules lourds

La ministre de l'Environnement et du Changement climatique, Catherine McKenna, a fait la déclaration suivante aujourd'hui : «Félicitations à nos amis, l'administratrice de l'Environmental Protection Agency des États-Unis, Gina McCarthy, et le secrétaire du département des Transports des États-Unis, Anthony Foxx, qui ont annoncé la version définitive de leurs normes sur les émissions de gaz à effet de serre et le rendement énergétique pour les véhicules lourds (phase 2). Les États-Unis font preuve de leadership dans la lutte contre les changements climatiques. Cette réglementation permettra de réduire de façon constante les émissions nocives pour le climat et d'augmenter le rendement énergétique des gros camions, y compris des semi-remorques, sur les autoroutes nord-américaines jusqu'en 2027. Il s'agit là d'un réel progrès pour l'environnement et l'économie.»

Comment les nouvelles normes d’émissions de GES affecteront-elles votre flotte?

L’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis a annoncé la prochaine étape de règlements proposés sur les émissions de gaz à effet de serre (GES) à l’automne 2015. Depuis, Transports Canada a annoncé son intention d’emboîter le pas et a déjà tenu ses premières réunions à cet effet. On s’attend à ce que le gouvernement fédéral établisse ses normes en fonction du modèle américain, alors que l’industrie espère quelques changements tenant compte de la réalité canadienne, notamment en ce qui concerne nos différentes configurations de véhicules, nos restrictions de poids et nos différents environnements de travail. On ne peut tout simplement pas approuver une norme américaine sans discuter et espérer qu’elle fonctionne efficacement au Canada. Les normes entreront en vigueur en 2018 pour les remorques et en 2021 pour les moteurs de poids lourds. FPInnovations et sa division Groupe PIT aborderont les répercussions qu’auront les nouvelles normes, les mesures qu’il faudra prendre pour les atteindre et la manière dont elles vont affecter les futurs standards de spécification, de fonctionnement et de performance des camions et remorques à partir de maintenant.

Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles acquiert le 1er camion à benne au gaz naturel de la Ville de Montréal

Dans le cadre de son programme de renouvellement de la flotte de véhicules, l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles innove et acquiert un camion à benne alimenté au gaz naturel, une première à la Ville de Montréal. Accompagnée des membres du conseil d’arrondissement, de la directrice d’arrondissement, du directeur des travaux publics, de cols bleus et de représentants de la compagnie EBI et de Camions Excellence Peterbilt inc, la mairesse de l’arrondissement, Chantal Rouleau, était présente lors de la livraison de ce premier camion à benne alimenté au gaz naturel comprimé (GNC). «Je suis fière que notre arrondissement soit pionnier de ce saut vers le gaz naturel. Cette action s’inscrit dans le cadre d’un projet-pilote de développement durable dont l’objectif est la réduction des gaz à effet de serre. Ce choix écologique s’ajoute à l’acquisition, en 2015, de deux véhicules hybrides», a déclaré Mme Rouleau. Dans le cadre de l’implantation du projet, Gaz Métro a tenu une séance d’information, l’automne dernier, traitant des véhicules au GNC et du gaz naturel afin d’approfondir les connaissances des employés des travaux publics sur le sujet. Utilisé pour la collecte des matières résiduelles, ce nouveau camion sillonnera l’arrondissement dès la semaine prochaine et se ravitaillera en gaz naturel provenant de la compagnie EBI. Tout comme pour les deux véhicules hybrides de l’arrondissement, ce camion à benne sera facilement identifiable par les citoyens par le visuel «RDP-PAT roule écolo».

Climat : le Québec n’atteindra pas ses objectifs sans transformer le secteur des transports

Un important regroupement de gens d’affaires et d’environnementalistes demande au gouvernement du Québec de passer à la vitesse supérieure en transformant de fond en comble le secteur des transports, dont les émissions de gaz à effet de serre ne cessent d’augmenter depuis 25 ans. Réunis sous la bannière de SWITCH, l’Alliance pour une économie verte au Québec, ils ont dévoilé un plan d’action qui identifie systématiquement les moyens par lesquels le secteur des transports pourra enfin faire sa part dans la lutte aux changements climatiques. Fruit d’une importante démarche de concertation entreprise au cours des derniers mois, ce plan s’inscrit dans la foulée de la Conférence de Paris sur le climat et la conclusion d’un accord visant la décarbonisation de l’économie mondiale, en plus de consolider les cibles ambitieuses adoptées par le gouvernement du Québec, soit de réduire les émissions de 80 à 95 pour cent d’ici 2050.

Une nouvelle étude sur la main d’œuvre, première en son genre, pour le secteur du camionnage au Port de Montréal

C'est aujourd'hui que La Table sur les compétences de la Porte de l'Asie-Pacifique et l'Administration portuaire de Montréal ont publié les résultats d'une étude sur le Profil de la main d'œuvre et des technologies de communication du secteur du camionnage au Port de Montréal. L'étude comprend un profil de la main d'œuvre de chauffeurs de la région, ainsi qu'un examen complet des technologies de communications actuellement utilisées par les entreprises et les chauffeurs spécialisés en camionnage portuaire à Montréal. Selon Daniel Dagenais, vice-président des opérations du Port de Montréal : «Le message est clair : la main d'œuvre du camionnage est en pleine évolution. Dorénavant, les nouvelles technologies contribuent à minimiser le temps d'attente au Port et à réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre. La technologie sera au cœur de nos plans stratégiques futurs. Cette étude nous a permis de mieux connaître le profil et les modes de communication des gens qui transportent des biens vers et depuis le port de Montréal.»

Le gouvernement du Canada ouvre une enquête sur l’utilisation présumée de dispositifs de mise en échec par Volkswagen

Le 18 septembre 2015, l'Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis a remis à Volkswagen un avis d'infraction à la Clean Air Act. Selon cet avis d'infraction, les modèles équipés d'un moteur diesel quatre cylindres des marques Volkswagen et Audi, construits entre 2009 et 2015, sont dotés d'un dispositif de mise en échec qui permet aux voitures de contourner les normes de l'EPA visant les émissions de certains polluants atmosphériques. Environnement Canada a fait la mise à jour suivante au sujet de cette affaire.

Préoccupations à l’audience américaine sur les GES et adoption imminente pour le Canada

La réglementation sur l’efficacité énergétique et les émissions de GES pour les camions poids lourds et de poids moyen, telle que proposée par les États-Unis et sur le point d’être adoptée par le Canada, a fait l’objet d’une audience publique en Californie. Les représentants de l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis et de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) ont tenu cet événement afin de recueillir des commentaires sur leur proposition conjointe. Une audience avait également eu lieu le mois dernier à Chicago. Représentants du gouvernement et des agences environnementales, fabricants, flottes et autres organismes connexes se sont vu accorder chacun cinq minutes pour faire une déclaration publique sur la phase 2 du règlement proposé sur les émissions de GES, tel que décrit présentement. Un comité composé de hauts membres de l'EPA et la NHTSA était chargé d’écouter et de poser des questions de clarification.

Le règlement de l’EPA/NHTSA sur les émissions serait nuisible pour les consommateurs, l’économie et les objectifs en matière d’émissions

Les associations National Automobile Dealers Association (NADA) et American Truck Dealers (ATD) ont publié la déclaration suivante, en réponse à la phase 2 du règlement sur l’économie de carburant et les émissions concernant les camions poids lourds et de poids moyen, telle que proposée par l’EPA et la NHTSA. «Le transport abordable est à la base de l’économie américaine, et le fait d’ajouter – selon l’estimation de l’Administration – 12 000$ en moyenne au coût d’un nouveau camion, par des exigences s’appuyant sur des technologies potentiellement non testées, représente un risque énorme dans une économie encore fragile. L’histoire récente a démontré que les réglementations dont on a sous-estimé les coûts de conformité entraînent des prix sensiblement plus élevés pour les véhicules commerciaux, obligeant les propriétaires de flotte et les chauffeurs à se tourner vers des solutions moins coûteuses et moins écoénergétiques. Les surcoûts pourraient même pousser plusieurs petites flottes et voituriers-remorqueurs vers la faillite, entraînant des pertes d’emplois et ralentissant davantage la croissance économique. Bien qu’en faveur des avancées technologiques visant à améliorer l’efficacité énergétique, l’ATD examine la proposition de près ainsi que les nombreuses répercussions qu’elle pourrait avoir sur les concessionnaires de camions et leurs clients.»

Le CTCQ en direct d’ExpoCam

Le Comité technique de camionnage du Québec (CTCQ) a profité de la tenue d’ExpoCam 2015 pour présenter son séminaire technique portant sur le présent et le futur de la réfrigération en transport. Pour l’occasion, Alain Chaloux (directeur des ventes) et Gilles Laroche (directeur de succursale) chez Thermo King Est du Canada étaient invités à discuter des plus récentes améliorations apportées aux unités de refroidissement du fabricant. Comme l’a expliqué M. Laroche en début de présentation : «C’est absolument impossible de créer du froid. En réfrigération, on parle plutôt d’absence de chaleur». Disponible depuis un an et demi environ, l’unité PRECEDENT a été entièrement redessinée par rapport à son équivalent précédent et répond désormais aux normes de l’Environmental Protection Agency (EPA) ainsi qu’aux plus récentes normes d’émissions en vigueur en Californie. Par rapport aux modèles plus anciens, on affirme que les nouveaux moteurs à injection de Thermo King permettent une réduction des matières particulaires de 90 pour cent et une réduction des émissions de NOx de 37 pour cent.