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THD fait l’acquisition de Claude Roussel Transport

THD, un chef de file dans les domaines du transport routier et de la logistique, annonce l’acquisition de Claude Roussel Transport (CRT), une entreprise de transport général fondée en 1986. Cette transaction permet aux clients de Claude Roussel Transport de bénéficier d’une couverture accrue au Québec et en Ontario. Elle leur permet également de bénéficier de services de transport de marchandises à température chauffée ou réfrigérée, et de services d’entreposage à température ambiante dans les installations de 35 000 pieds carrés de THD. «Cette décision d’affaires est axée sur la synergie et la croissance», explique Luc P. Cartier, président de THD. «Nos entreprises partagent les mêmes valeurs familiales et s’entendent sur l’importance d’offrir aux clients une expérience hors pair.»

Le Groupe Morneau se dote d’un nouveau terminal à Anjou

C’est en compagnie de plusieurs personnalités du monde des affaires, de la politique et du transport que le Groupe Morneau a procédé jeudi matin à l’inauguration officielle de son tout nouveau terminal de transport à Anjou (Montréal), un investissement privé pour l’entreprise familiale représentant plus de 25 millions de dollars. D’une superficie de 105 000 pieds carrés, ce bâtiment de 82 portes (quais de transbordement) permettra le transit de plus de 500 voyages de marchandises au quotidien. L’emplacement du terminal, situé à la jonction des autoroutes 40 et 25, permettra également à l’entreprise de développer avec encore plus de vigueur ses activités sur l’ensemble du territoire québécois, mais également à travers l’Ontario. Véritable plaque tournante entre les marchés de l’Est du Canada, des grandes régions du Québec et de Mississauga (Ontario), ce nouveau terminal regroupera sous un même toit les activités des divisions Morneau Transport, Morneau Solution, Morneau Sego et Morneau Global. «Grâce à cette ouverture, nous pouvons désormais asseoir notre expertise sur des bases encore plus solides en offrant à notre clientèle le plus important terminal de transport LTL au Québec. Plus de 10 000 palettes par jour pourront être manipulées dans cet espace conçu pour réduire au minimum le risque de bris de marchandises. Ainsi, nous maintenons des scores quasi inégalés en matière de taux de réclamation, soit moins de 0,5 pour cent, et ce, au grand bénéfice de l’ensemble de notre clientèle», a expliqué André Morneau, président du Groupe Morneau. Ces nouvelles installations accueilleront également un centre d’entretien, un centre technologique ainsi que des équipements permettant le traitement de conteneurs destinés au transport intermodal et international via la division Morneau Global.

5 raisons pour lesquelles l’industrie du camionnage sera bonne en 2015

Des analystes chez GE Capital ont compilé une liste de tendances dans l’industrie du camionnage pour 2015, mettant l’accent sur les marchandises, les tarifs et les capacités. Il y a de quoi se réjouir : 1. Effet de levier: Les tarifs de fret devraient être modérés cette année, alors que tous les nouveaux camions commandés en 2014 vont alléger les capacités restreintes. Cependant, les difficultés rencontrées par les nouveaux joueurs qui arrivent sur le marché (réglementation stricte, pénurie de chauffeurs, coûts associés aux assurances) empêcheront l’industrie d’augmenter suffisamment la capacité pour répondre à toute la demande. De plus, une pression accrue sur les salaires et les avantages sociaux des chauffeurs contribuera à justifier des tarifs de fret plus élevés, et ce, malgré la chute des prix du carburant; 2. Bas prix du carburant : La chute des prix du diesel devrait se poursuivre en 2015, selon les analystes, mais la forte baisse du prix du pétrole brut pourrait avoir des effets négatifs sur les tonnages de marchandises transportées. Cela dit, GE Capital croit que, tout considéré, la baisse du prix du diesel apportera des avantages plus grands que les inconvénients qui découlent de la diminution du tonnage, et ce, pour tous les transporteurs, à l’exception de ceux dont les activités sont fortement concentrées dans le transport de produits reliés au secteur de l'énergie.

De nouvelles technologies admissibles au programme Écocamionnage

Lancé le 25 février 2014, le programme Écocamionnage a pour objectif de favoriser l’utilisation d’équipements et de technologies visant à améliorer l’efficacité énergétique dans le transport des marchandises. Au cours de la durée du programme, des mises à jour régulières sont effectuées à la liste des technologies admissibles. Ainsi, la liste a été modifiée le 21 janvier dernier pour y inclure quatre nouvelles technologies. La nouvelle liste des technologies admissibles au programme Écocamionnage est disponible en cliquant ici. Pour tout renseignement additionnel, communiquer avec la Direction du transport routier des marchandises au 1-877-635-8239 ou au 418-528-2513 pour les appels locaux, ou encore par courriel à ecocamionnage@mtq.gouv.qc.ca.

Formations de l’ACQ en février

Le calendrier de formation 2015 de l’Association du camionnage du Québec s’amorce le 11 février prochain dans les locaux du CFT Charlesbourg (Québec), avec la formation intitulée : Transport de marchandises dangereuses (TMD) - Devenir formateur dans votre entreprise. Organisé en collaboration avec le CFTR Saint-Jérôme et le CFT Charlesbourg, le programme permettra aux participants de former les chauffeurs et les autres membres du personnel. Cette formation vous permettra également d'assurer le respect des actions à poser lors d'un mouvement de transport impliquant des marchandises dangereuses. L’atelier est destiné principalement aux formateurs, maîtres-chauffeurs, responsables de la réglementation en entreprise ou aux manutentionnaires. Il est à noter qu’une session est également prévue à l'automne 2015 dans les bureaux de l'ACQ (Montréal), dont la date reste à déterminer.

S’adapter à l’arrivée des véhicules automatisés

Bouclez vos ceintures et préparez-vous à la prochaine grande nouveauté. Les véhicules automatisés, déjà sur les routes dans une certaine mesure, seront de plus en plus nombreux sur les bretelles d'accès, les autoroutes et les chaussées canadiennes, faisant gagner du temps et réduisant le nombre de collisions routières. Selon une nouvelle étude du Conference Board du Canada, menée en collaboration avec l'Institut Van Horne et le Canadian Automated Vehicles Centre of Excellence (CAVCOE), intitulée Les véhicules automatisés : l'avènement de la prochaine technologie perturbatrice, des véhicules autoconduits pourraient être en circulation d'ici 2020 à 2025 et les retombées économiques pour le Canada pour se chiffrer à plus de 65 G$ par an.

Projet Turcot – Contrat conception-construction : annonce du soumissionnaire sélectionné

Le ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de Montréal, Robert Poëti, accompagné du commissaire à la lutte contre la corruption, Robert Lafrenière, et de la directrice associée juridique de la Société québécoise des infrastructures, Natalie Mills, annonce que le soumissionnaire sélectionné pour la réalisation des infrastructures principales du projet Turcot en mode conception-construction est le consortium KPH Turcot. «La réalisation du projet Turcot dans le respect des coûts et de l’échéancier est incontournable pour notre gouvernement, et je me réjouis que l’étape cruciale de la sélection du soumissionnaire soit maintenant franchie. Turcot est, et demeurera, une plaque tournante pour la mobilité des personnes et des marchandises dans la région métropolitaine et un moteur économique pour l’ensemble de la province. Au-delà du développement économique, Turcot se veut aussi un projet intégré à son milieu qui contribuera à améliorer la trame urbaine des quartiers qu’il traverse», a souligné M. Poëti.

L’indice des conditions d’expédition FTR reflète un léger assouplissement des capacités restreintes en octobre

L’indice des conditions d’expédition FTR, avec une lecture de -5,5 en octobre, reflète une légère amélioration – temporaire – de la capacité de transport. Bien que la capacité soit désormais hors de la zone critique d’il y a quelques mois, le segment du camionnage demeure très vulnérable aux pénuries saisonnières. FTR s’attend à ce que l’indice des conditions d’expédition se détériore au cours des prochains mois, surtout à la lumière de l’augmentation notable des coûts pour les transporteurs, à l’exception du carburant, et de l’augmentation des frais de transactions, alors que les expéditeurs sont à la recherche de capacité supplémentaire pour transporter leurs marchandises.

La baisse de l’indice des conditions d’expédition FTR reflète des déficits de capacité persistants

Affichant une lecture de -6,6, l’indice des conditions d’expédition FTR de septembre demeure pratiquement inchangé par rapport au mois précédent, reflétant le maintien des déficits de capacité qui détériorent le service ou imposent des taux plus élevés. Avec le resserrement soutenu de la capacité et des augmentations salariales annoncées par certaines flottes, on prévoit que le coût d’expédition des marchandises demeurera élevé. Le ralentissement typique du tonnage du fret durant l’hiver n’offrira qu’un sursis mineur et de courte durée, alors que l’indice des conditions d’expédition devrait rester dans le même spectre dans un avenir prévisible. Jonathan Starks, directeur de l’analyse du transport chez FTR, a déclaré : «Bien que la capacité des camions n’ait pas été aussi mauvaise que ce que nous avons vu au cours de l’hiver dernier, elle est demeurée serrée et, par conséquent, les taux ont été élevés toute l’année. Récemment, la préoccupation est passée de la capacité sur les routes à des problèmes dans les ports. À cause de la congestion portuaire, nous voyons les impacts potentiels sur les prévisions des commerçants par rapport au Black Friday. Pour ajouter aux ennuis, les importateurs subissent les surcharges imposées par les ports. De plus, ils sont aux prises avec des retards dans l’acheminement des marchandises ainsi que des coûts supplémentaires. Si une résolution du conflit de travail sur la côte ouest ou un ralentissement hivernal du fret ne facilite pas la situation, ceux qui dépendent de ces ports pourraient être aux prises avec un environnement d'exploitation très difficile au début de l’année 2015.

Retour sur la Journée d’information sur le gaz naturel

L’objectif de la journée, au cours de laquelle se sont succédés différents conférenciers, était de promouvoir l’utilisation du gaz naturel (GN) dans le transport routier de marchandises et de personnes. D'entrée de jeu, Jean-François Marcoux, directeur - marché du gaz naturel pour véhicules chez Gaz Métro, annonce qu’il s’agit d’une journée d’information sans fournisseurs, «pour transmettre l’information avec le plus de transparence possible». Saviez-vous, par exemple, qu’un moteur diesel existant converti au GN requiert tout de même près de 5o pour cent de carburant diesel pour fonctionner, et qu’un moteur OEM de Cummins 100 pour cent gaz naturel ne requiert pas d’urée ni de filtre à particules? Ou qu’en termes de volume, un mètre cube de GN correspond à un litre de diesel? Imaginez alors les complications logistiques et de stockage qu'une telle réalité pourrait entraîner. Le GN est donc comprimé pour atteindre un volume 300 fois plus petit, ou liquéfié pour un volume 600 fois plus petit que la pression atmosphérique.